A portée de lune
Elle disait ‘je vis sur la lune’
Il répondait j’aime ta planète
Et parfois sur ses mèches brunes
Il venait reposer sa tête
Elle disait je voudrais la lune
Il répondait tu sais peut-être
Le jour où je ferai fortune
Je reviendrai sans doute avec
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de bien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Elle disait là-bas sur la lune
Ne souffle jamais la tempête
Il répondait mais quelle infortune
Y vivre sans ta silhouette
Elle disait allons sur la lune
Pour célébrer notre amourette
Les journaux en feront la une
Et s’habilleront d’un air de fête
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Il disait j’ai peur du clair de lune
Elle répondait ne soit pas bête
De craintes non n’en aies aucune
Je saurai être ta cachette
Il disait tes yeux demi lune
Eclairent ici nos tête à tête
Elle disait plus proche de saturne
Ils sauront être aussi poètes
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Texte Lidia Mele. Tous droits réservés, SNAC
Elle disait ‘je vis sur la lune’
Il répondait j’aime ta planète
Et parfois sur ses mèches brunes
Il venait reposer sa tête
Elle disait je voudrais la lune
Il répondait tu sais peut-être
Le jour où je ferai fortune
Je reviendrai sans doute avec
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de bien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Elle disait là-bas sur la lune
Ne souffle jamais la tempête
Il répondait mais quelle infortune
Y vivre sans ta silhouette
Elle disait allons sur la lune
Pour célébrer notre amourette
Les journaux en feront la une
Et s’habilleront d’un air de fête
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Il disait j’ai peur du clair de lune
Elle répondait ne soit pas bête
De craintes non n’en aies aucune
Je saurai être ta cachette
Il disait tes yeux demi lune
Eclairent ici nos tête à tête
Elle disait plus proche de saturne
Ils sauront être aussi poètes
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Et c’est ainsi que passaient les jours
De mots de rien en mots d’amour
Et c’est ainsi qu’ils passaient leurs nuits
Rêves en main, mots pour la vie
Texte Lidia Mele. Tous droits réservés, SNAC