Encore et toujours
Chaque matin nuit après jour
Nuit de sommeil ou nuit d’amour
Sous ce grand ciel rien de nouveau
Toujours les larmes, toujours les maux
Encore faire semblant d’oublier
Mais à chaque seconde y penser
Les femmes qu’on ne respecte plus
La faim, le froid, l’enfant battu
Les canons qui créent la misère
Les couvre-feux, la peur, la guerre
Qu’elle soit d’Amérique ou d’Iran
Chez nous ou bien chez les Afghans
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle porte un nom
Celui des drames et des tourments
Des douleurs noyées dans le sang
Le vol, les cris et la colère
Ici ou loin de nos frontières
Comment peut-on vivre insouciant
Sans y songer à chaque instant
Où que je sois dans ce grand monde
Dans un soupir quelqu’un succombe
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle porte un nom
Celui du viol et du parjure
De l’assassin et de l’injure
Des âmes devenues trop âgées
Dans un coin seules abandonnées
Du mensonge et de la souffrance
Regards pétris d’indifférence
Meurtries sont nos vies désertées
D’amour, de rêves ou d’amitié
Je voudrais tant vous dire l’espoir
Mais moi-même je ne puis y croire
Et c’est perdue dans mon chagrin
Que je répète ‘oui tout va bien’
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle est sans nom
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle est sans nom
Texte de Lidia Mele, tous droits réservés, SNAC
Chaque matin nuit après jour
Nuit de sommeil ou nuit d’amour
Sous ce grand ciel rien de nouveau
Toujours les larmes, toujours les maux
Encore faire semblant d’oublier
Mais à chaque seconde y penser
Les femmes qu’on ne respecte plus
La faim, le froid, l’enfant battu
Les canons qui créent la misère
Les couvre-feux, la peur, la guerre
Qu’elle soit d’Amérique ou d’Iran
Chez nous ou bien chez les Afghans
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle porte un nom
Celui des drames et des tourments
Des douleurs noyées dans le sang
Le vol, les cris et la colère
Ici ou loin de nos frontières
Comment peut-on vivre insouciant
Sans y songer à chaque instant
Où que je sois dans ce grand monde
Dans un soupir quelqu’un succombe
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle porte un nom
Celui du viol et du parjure
De l’assassin et de l’injure
Des âmes devenues trop âgées
Dans un coin seules abandonnées
Du mensonge et de la souffrance
Regards pétris d’indifférence
Meurtries sont nos vies désertées
D’amour, de rêves ou d’amitié
Je voudrais tant vous dire l’espoir
Mais moi-même je ne puis y croire
Et c’est perdue dans mon chagrin
Que je répète ‘oui tout va bien’
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle est sans nom
Et devoir cacher ma détresse Encore et toujours
Dire je vais bien quand ça me blesse Encore et toujours
Ce monde qui ne tourne pas rond Encore et toujours
Je crie ma peine, elle est sans nom
Texte de Lidia Mele, tous droits réservés, SNAC